A un Poëte aveugle, in Les Contemplations, Victor HUGO
Gentes Dames, gents Sieurs,
Bonjour!
Aujourd'hui, je vous propose de lire [de nouveau] le célèbre poème intitulé « A un Poëte aveugle » de l'illustre Victor HUGO, issu du recueil « Les Contemplations », du livre premier « Aurore » de la partie « Autrefois (1830 - 1843) ».
L'extrait qui suit provient de la collection GF, des éditions Flammarion:
Merci, poëte! - au seuil de mes lares pieux,
Comme un hôte divin, tu viens et te dévoiles;
Et l'auréole d'or de tes vers radieux
Brûle autour de mon nom comme un cercle d'étoiles.
Chante! Milton chantait; chante! Homère a chanté!
Le poëte des sens perce la triste brume;
L'aveugle voit dans l'ombre un monde de clarté.
Quand l'œil du corps s'éteint, l'œil de l'esprit s'allume.
Paris, mai 1842.
Gentes Dames, gents Sieurs,
Je vous remercie d'avoir accordé un peu de votre vital et ô combien précieux temps à la lecture de ce modeste article.
A très bientôt!