L'on ne parle plus de/du/des/d'...
- « pauvres », mais de
personnes dans le besoin
ou de
bénéficiaires du RSA
- « ennui à plusieurs », mais de
réseaux sociaux
- « Ministère de la Guerre et des Armées », mais du
Ministère de la Défense
- « velléités patronales », mais des
recommandations patronales
- « la demande des salarié-e-s et/ou des syndicats », mais de la
grogne salariale/syndicale
- « énervés de première », mais des
usagers en colère
- « la gauche « caviar » », mais de la
gauche « MACRON »
ou
gauche « maquereau »
(voire « maquerelle », afin d'accorder en genre et en nombre avec le nom qualifié)
- « principe de précaution », mais de
peur(s) irrationnelle(s)
- « crève-la-faim », mais de
personnes en situation de malnutrition
- « cartons mal entassés », mais de
logement(s) de fortune
- « sectes », mais de
religions
- « gourous », mais de
prophètes, papes, curés, imams, rabbines/rabbins, prêtres...
- « crayons noirs », mais de
crayons de couleur
- « auto-détermination des peuples », mais de
non-adhésion à l'OTAN
- « invasion », mais de
libération
- « athées » (non, l'on n'en parle pas, l'on n'en parle plus). Ces drôles d'êtres sont priés de se taire.
- « moutons », mais de
followers
- « danse macabre », mais de
« VALLS à mille temps »
In memoriam
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